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Oui au Plan de quartier « Pierre de la Paix »

J’ai lu avec attention et un certain amusement les arguments des référendaires et certains opposants, notamment sur les réseaux sociaux où certains sont derrière leurs écrans, experts en gestion des matériaux et en aménagement du territoire…
Les opposants à ce projet insinuent que l’entreprise qui exploite la
carrière va s’en mettre plein les poches et que personne ne va en
profiter. Cet argument est malhonnête. Cette carrière va être gérée
en partenariat avec la Commune bourgeoise de Malleray.
De par les recettes qu’elle perçoit, elle finance, il faut le savoir, certains projets d’importance pour le village.
Dernier exemple en date, son soutien au futur Bike Park où la Bourgeoisie met gracieusement à disposition le terrain et apporte une contribution. Ceci va permettre, grâce à l’engagement de citoyens, de pouvoir faire revivre le téléski de la commune qui était voué à disparaître il y a peu.
La Bourgeoisie n’a pas l’obligation par exemple dans les périodes de fête d’offrir les sapins qui égaient le village, soutenir les écoles financièrement, offrir et mettre à disposition de belles places de pique-nique, notamment celle de la « Pierre de la Paix », que les
citoyens peuvent utiliser les week-ends…
Oui, tout cela a un coût et l’argent nécessaire à ces investissements ne tombe pas du ciel. Je rappelle au passage que les opposants font allègrement courir le bruit que la place de pique-nique de la « Pierre de la Paix » va disparaître, ou sera désertée à cause des nuisances de la carrière, alors que bien évidemment ce ne sera pas le cas.
Concernant les frais, les opposants omettent de préciser que depuis
la sortie du village, jusqu’à la carrière, l’entretien incombe à 100 % à
la Bourgeoisie et à l’entreprise Faigaux. Pour conclure, je remarque
que certains opposants déclarés n’ont pas vu d’inconvénient de pouvoir, au moment de construire leur maison, apporter les déblais
engendrés par leur construction à cette décharge contre laquelle
ils s’opposent.
Je leur signale au passage que leurs maisons venues directement d’Allemagne, montées par des ouvriers externes à la région n’auront presque rien apporté à la localité, contrairement à l’entreprise Faigaux qui emploie du personnel régional qui fait vivre
les commerces locaux et paie ses impôts chez nous.
C’est aussi cela l’économie et les retombées indirectes pas forcément perceptibles dans un tel projet.
Pour ce, j’invite toutes les citoyennes et citoyens à voter OUI le 28 novembre prochain.
Maxime Ochsenbein, membre du Conseil général, Bévilarrd