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Menace terroriste: La Suisse épargnée, mais pour combien de temps ? ?

Récemment, l’émission Temps Présent intitulée « Les djihadistes Suisses sont parmi nous » nous livre des brides d’éléments qui donnent froid dans le dos et soulèvent de nombreuses interrogations. Tous les signaux sont au rouge, même si les services de renseignements restent flous sur les risques d’attentats ou menaces qui pourraient toucher notre pays.

L’enquête démontre que les services secrets sont limités dans leurs moyens pour lutter efficacement contre les personnes radicalisées. On apprend que sur notre territoire, plus de 600 personnes surveillées sont soupçonnées de liens avec des organisations terroristes, que Berne ou certaines grandes villes de notre pays sont régulièrement citées par les djihadistes.

93 Suisses se seraient envolés et pratiqueraient le djihad aux côtés d’organisations terroristes. 50 personnes seraient en Syrie, sans que personne ne sache vraiment ce qu’elles y font. Une chose est sûre, nous pouvons exclure l’hypothèse des vacances balnéaires ! On dénombre déjà 22 jeunes Helvètes radicalisés, morts au nom de l’Etat Islamique.

Ce reportage démontre que les politiciens et organisations bienpensantes jouent à la politique de l’autruche en se renvoyant les responsabilités et pensent que nous pourrons limiter ou prévenir le radicalisme avec des hotlines, Bienne étant cité comme exemple. Une utopie sans grand effet jusqu’à ce jour, mise en place pour tenter de rassurer la population.

En plus du fonctionnement et financement des mosquées majoritairement opaque et flou, l’actualité de notre pays de ces derniers mois fait état d’imams peu scrupuleux qui grâce au fait que la justice n’ayant qu’une action limitée, restent sur notre territoire en tout impunité !

L’émission « 10 vor 10 » de la télévision suisse alémanique relayée par le Journal du Jura du samedi 3 février, relève l’information incroyable que le père et la mère du jeune palestinien réfugié -parti faire le djihad en Somalie puis réapparu aux côtés d’organisations terroristes en Syrie- soutenaient leur fils dans ses projets et avaient pour idée de commettre un attentat sur sol Suisse... .

Ces personnes, à l’époque soutenus d’une part par le canton avec l’obtention de bourses et appuyer part par une organisation pour migrants, se sont volatilisés depuis 2015... De tels chiffres et informations confirment qu'il serait urgent d'adapter nos lois et prendre des mesures urgentes, même si désormais il semble évident que ce ne soit qu’une question de temps avant que notre pays soit visé par des actes malveillants.